Creative
-
Comment vaincre la peur du jugement et de la critique
Au moment de publier mon tout premier article de blog, mon doigt a hésité sur le bouton. Que va-t-« on » penser? Pour passer à l’acte, il a fallu que je me dise: « N’aie crainte, ton article va sombrer dans l’océan des blogs. Si tu n’en parles pas, personne n’en saura rien. » Il m’a fallu quinze jours pour en parler à deux amies très bienveillantes et quatre semaines pour en parler sur Facebook. Et j’ai survécu ! Pourquoi la critique fait si mal (même quand elle est polie) Tu pourrais penser que, parce que tu as demandé un retour, ton cerveau va réagir avec sagesse et gratitude. Haha. Non. Même un retour…
-
3 super techniques pour vaincre le syndrome de l’imposteur
Tu écris. Tu ratures. Tu doutes.Et au moment de cliquer sur “envoyer” ou “publier”, une petite voix te murmure : “Franchement… tu es sûre que tu as le droit ?” Je prends le parti du « féminin l’emporte » dans cet article, parce que je pense que nous sommes encore plus sujettes que les hommes à nous sentir illégitimes. Bienvenue dans le cerveau de l’auteur moderne : un espace partagé entre passion créative et sabotage mental de compétition. Ce sentiment insidieux, cette impression d’être une fraude ambulante prête à être “démasquée” à tout instant, ça a un nom : le syndrome de l’imposteur. Non, ce n’est pas juste “dans ta tête”. C’est…
-
Comment contrer la morosité par la joie et le sourire ?
Parce qu’on n’a jamais trop de trucs et astuces pour rendre sa vie joyeuse, inspirée et inspirante, le défi lancé par Gaëlle du blog 🐣 oeuf-poule-poussin.com🐔 m’a soufflé cet article qui participe à la Farandole des Blogs dont le thème actuel est « Comment contrer la morosité par la joie et le sourire ». 😀 Brrrr… Il fait gris, il fait froid, ça mitraille ici et là dans le monde, loin d’ici, près d’ici. Gaza, la drogue, Trump, tout ça … il y a de quoi se vautrer dans la maussaderie. Mais pourquoi s’y complaire quand on peut agir pour illuminer sa propre vie ? Laissez-moi vous raconter un dimanche matin fatigué. C’était une…
-
Pourquoi et comment la fiction peut vraiment être thérapeutique
Flashback Il y a quelques temps, pendant un atelier d’écriture, notre animatrice, Ariane, nous a proposé un exercice : un psy écrit une lettre à un confrère à propos de notre héros. Intéressant… Sauf que mon personnage, Victor, est un anti-héros total, un vrai looser. Ça m’inspire : le psy fictif se lance dans une diatribe contre Victor, critiquant son absence de volonté et sa fâcheuse tendance à procrastiner. Je lis mon texte, les autres rient, et Ariane me lance : « Comment s’appelle ce psy ? Juste pour être sûre de ne jamais le consulter ! » Je jubile… Jusqu’à ce que je relise mon texte quelques jours plus tard.…


