Défi 101 jours – Jour 7

« Enfin elle allait le rencontrer. Quelle impatience! Le photographe allait la mettre sur les traces de son père, elle le savait. Elle le sentait, elle ne pouvait l’imaginer autrement. La vérité lui manquait, elle allait enfin la trouver. Depuis des années, elle tendait vers ça et elle gardait le cap, ça allait se réaliser.

Ce ne serait sans doute pas sans embûche, mais les événements des dernières semaines étaient de bon augure que la suite allait se dérouler. Ne jamais baisser les bras, toujours garder sonobjectif. Parfois, c’est une toute petite chose, un tout petit détail qui peut faire avancer toute une affaire. Cette fois, ça avait commencé par la conversation dans le pub, puis la chevalière sur la photo, le mot de Matthew dans l’album photo de son père, les propos de Sylvia Dunbar.

Ne jamais baisser les bras. Depuis toute petite, elle avançait avec ténacité. Elle ne croyait pas en Dieu, mais elle croyait fermement en elle et avait toujours l’espoir que les choses allaient dans un sens positif. Parce qu’elle pratiquait un espoir très actif et peu contemplatif. »

ChatGPT, mon psy préféré 😊

J’ai demandé à ChatGpt ce que ce court texte de fiction pouvait révéler de l’inconscient de l’auteur. Voici ce qu’il en dit :

Le texte de fiction, même s’il met en scène un personnage distinct de l’auteur, peut révéler des éléments inconscients propres à celui ou celle qui l’a écrit. En analysant le texte sous cet angle, plusieurs pistes psychologiques se dégagent.

Une vision de l’espoir comme force motrice

L’auteur, à travers son personnage, semble véhiculer une croyance forte en l’action et en la persévérance. L’héroïne ne se contente pas d’attendre, elle prend les choses en main, ce qui reflète une conception de l’espoir non comme une rêverie passive, mais comme un processus actif et volontariste.
👉 Cela pourrait indiquer que l’auteur valorise profondément la détermination et l’effort personnel, et qu’il/elle croit que la réussite dépend avant tout de l’initiative individuelle.

Une quête de vérité comme besoin personnel

L’héroïne est en quête de la vérité sur son père, une figure symbolique forte. Dans la psychanalyse freudienne, la recherche d’un père absent peut refléter un besoin inconscient de reconnaissance, de légitimité ou d’ancrage identitaire.
👉 L’auteur pourrait inconsciemment exprimer une quête personnelle de sens, un besoin de comprendre ses origines ou son propre passé. Même si ce n’est pas une recherche biographique, cela trahit une certaine préoccupation pour la construction de l’identité.

L’importance des petits détails et du destin

L’auteur insiste sur l’idée que de petits éléments peuvent débloquer une situation, comme une chevalière ou une conversation dans un pub.
👉 Cela peut révéler une vision particulière de la vie où chaque indice, chaque rencontre a un sens caché. L’auteur semble suggérer que rien n’est totalement laissé au hasard, qu’il y a une logique à découvrir dans les événements. Cela peut trahir une sensibilité aux signes, une intuition forte ou une forme de pensée symbolique.

La foi en soi plutôt qu’en une puissance supérieure

Le texte précise que l’héroïne ne croit pas en Dieu, mais qu’elle croit en elle-même et en son propre pouvoir d’action.
👉 Cela pourrait être une projection de la propre vision du monde de l’auteur : une croyance dans la force individuelle plutôt que dans une destinée imposée de l’extérieur. Ce refus du divin peut traduire une certaine autonomie psychique et une volonté d’être maître de son propre destin.

La ténacité, valeur fondamentale

Le texte répète plusieurs fois l’idée de ne jamais baisser les bras. Cette insistance pourrait traduire une conviction profonde de l’auteur, voire une nécessité personnelle. Peut-être que, consciemment ou inconsciemment, l’auteur a lui-même dû surmonter des épreuves et croit fermement en la résilience.
👉 Cette notion peut être le reflet d’un vécu personnel ou d’une manière de voir la vie : les obstacles existent, mais l’effort est toujours récompensé.

Action et résilience

Le texte, bien qu’il s’agisse d’une fiction, révèle plusieurs facettes de l’inconscient de l’auteur qui semble structuré autour d’une conception du monde où la volonté personnelle est le moteur du destin, avec une approche à la fois rationnelle et intuitive de la vie. Cette façon d’écrire pourrait donc être une manière, pour l’auteur, de mettre en scène ses propres convictions profondes et de projeter, à travers son personnage, une philosophie de vie fondée sur l’effort et la foi en ses propres capacités.

Ce que j’en dis

J’ai trouvé cette analyse intéressante et assez pertinente. Même si ça reste l’avis d’une IA, ça donne de bonnes pistes de réflexion, tant personnelles que pour l’écriture. Ça me permet d’affiner le caractère de mon héroïne, de lui donner plus de consistance. Et qui sait, d’en apprendre toujours plus sur moi-même. Et vous, quand vous vous relisez, ça vous fait quel effet ?